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Hier dans la newsletter de @aPaulineR j'ai découvert le principe du « male glance » : « un coup d’oeil qui survole, paresseux, les œuvres culturelles qui n’ont pas pour objet direct l’expérience supposément universelle de l’homme blanc cishétéro d’âge mûr ». Ça sonne très juste.
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J'arrête pas de repenser à ça. Et je peux pas m'empêcher de croire que l'aversion de bon nombre de développeurs envers CSS (cf thoughtbot.com/blog/tailwind-and-the-femininity-of-css) c'est juste du male glance.